José Antonio Gurriarán
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Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance | José Antonio Gurriarán López |
Nationalité | |
Formation | Escuela Oficial de Periodismo (d) (Licenciatura en journalisme (d)) (- Université de Madrid (d) (legum licentiatus) (- ![]() |
Activités | |
Période d'activité |
A travaillé pour | Radio y Televisión de Andalucía (- RTVE (- RBA (d) Vocento Alerta (periódico) (d) El Alcázar Pueblo (d) Arriba El Diario Montañés (en) El Socialista ![]() |
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Distinction | Prix Larra (d) () ![]() |
José Antonio Gurriarán López, né le [1] à O Barco de Valdeorras (province d'Ourense en Galice) et mort le à Madrid[2], est un journaliste et écrivain espagnol, directeur adjoint du journal Pueblo.
José Antonio Gurriarán est blessé accidentellement au cours d'un attentat à Madrid commis par l'ASALA (Armée secrète arménienne de libération de l'Arménie)[3] dans la nuit du [4]. Après cette attaque, il s'intéresse à la cause arménienne, ainsi qu'à l'ASALA, rencontre et interroge le chef de l'Armée secrète arménienne pour la libération de l'Arménie au Liban.
En 1982, José Antonio Gurriarán écrit La Bombe, qui retrace l'attentat qu'il a subi, ainsi que son soutien à la cause arménienne. Un film français de Robert Guédiguian, Une histoire de fou, sorti en 2015, est tiré de ce roman autobiographique[5]. Un film-docu TV basé sur ce film, intitulé JA Gurriarán[6], diffusé sur Ciné + (rebaptisé Una bomba de más dans sa version espagnole), est réalisé, également en 2015, par Audrey Valtille, avec la collaboration de Robert Guédiguian.