Cette page contient l'archivage de la discussion d'une proposition d'anecdote.
Part du Bon Dieu
11 février 2024 à 12:45:35 : il est maintenant possible de clore la proposition. En analysant 7 avis modélisés, le bot a estimé une décision de probable acceptation, sous réserve d'un sourçage certifié (67.86%). Pour notifier les participants : {{Notif|Mike Coppolano|Jean-Paul Corlin|HMa|Olinone|Oziris|Bertrouf|Uchroniste 40}}
Proposition validée. L’anecdote qui suit, proposée par Mike Coppolano le 2024-01-06 17:14:00, a été certifiée par Oziris au niveau d'une source directe et validée par Oziris. Elle va être déplacée sur la page de préparation des publications, pour être ensuite insérée automatiquement sur la page d’accueil le 05.01.2025 (prochaine épiphanie) :
Autrefois, il était de coutume en partageant la galette des rois d'en couper une part en plus, celle-ci étant destinée à un pauvre qui se présenterait au logis.
Le contenu de l'article inclut une citation selon laquelle il y avait autant de parts que de convives, et d'autres parties, dont la source, qu'il y avait une part "de plus". À rendre cohérent?--Olinone (discuter) 9 janvier 2024 à 10:54 (CET)[répondre]
Oziris (d · c · b) c'est très connu, tu trouves ? Mais demandons nous tous ensemble où ira l'humanité au XXIè siècle, si on ne réhabilite pas le partage. Pour une fois qu'il y a une anecdote qui parle des pauvres. Miked5 février 2024 à 08:56 (CET)[répondre]
Mike Coppolano (d · c · b) Je le savais, c'est différent de "c'est très connu" c'est vrai. Et puis cela ne peut pas être un argument pour refuser, sinon JPC en accepterait aucune ^^. Je revois mon avis, je suis convaincu . Par contre, il faut prendre en compte l'avis de Olinone non ?
Oui, il faut prendre en compte l'avis de Olinone, je relance Kertraon et adjoint Pautard si jamais lui aussi a entendu parler de cette coutume. Il y a des gens qui mangent dans les poubelles en France et ailleurs. Bonne journée Miked6 février 2024 à 10:46 (CET)[répondre]
Lorsqu'un gâteau pas forcément une galette était cuisinée, il arrivait que le cuisinier ou la cuisinière mette sur le rebord de la fenêtre une part (Comme un de mes amis cuisinier posait - il est à la retraite depuis 1 mois et demi, mais il donnera toujours - de la nourriture - pour pas que les migrants mangent dans les poubelles à côté de son restaurant) c'est un brave père de famille qui a voué sa vie à Dieu. Quand à la part en plus de galette des Rois, c'est une coutume bien établi, et qui aurait tendance à revenir en grâce. Voilà, voilà, une anecdote pour parler du don et de sa nécessité quelquefois. Merci à vous pour vos réponses (L'article de la Croix, je connais) Bon, on verra bien si l'anecdote passe. Bonne journée à vous Miked7 février 2024 à 07:18 (CET)[répondre]
J'aime bien, ainsi que l'idée de mettre une part de côté dans la huche à pain pour les absents. L'article de la Croix semble suffisant pour certifier, et l'expression "la part du pauvre" mentionne bien la galette https://www.linternaute.fr/expression/langue-francaise/17497/la-part-du-pauvre/. Je ne suis pas contre une certaine reformulation ni compléter l'article mais pour le fond de l'anecdote, ça me semble bon. L'effet Piranha peut aider cet article. Bertrouf8 février 2024 à 09:30 (CET)[répondre]