Utiles (mouvement)
L'association Utiles (acronyme de « Ultra-marins, Territoires, Indépendants, Liberté, Ecologie et Solidarité ») a été fondée fin [1],[2][pourquoi ?].
Utiles | |
Logotype officiel. | |
Présentation | |
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Fondation | |
Siège | Paris |
Président | Bertrand Pancher |
Secrétaire général | Olivier Serva |
Slogan | « Engager dès maintenant une transformation utile pour la société » |
Positionnement | Centre (centre gauche à centre droit) |
Couleurs | Vert et bleu |
Site web | asso-utiles.fr |
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Utiles compte notamment, parmi ses membres, la moitié (11 députés sur 22) du groupe parlementaire LIOT.
Positions
Utiles se présente comme « pro-européen », « humaniste » et « attaché aux territoires et aux outre-mer », dans l'arc des modérés du centre-droit au centre-gauche[2].
Organisation territoriale
Plusieurs collectifs départementaux étaient déjà lancés en [3]. Depuis, se sont créés aussi des mouvements régionaux.
Élections
Élections législatives de 2022
Les plus récentes élections législatives ont eu lieu les 12 et .Répartition territoriale des élus : sont indiqués les parlementaires (députés ou sénateurs) membres d'UTILES[4].
Nord-Ouest
(Régions : Hauts-de-France et Normandie) : Benjamin Saint-Huile, député du Nord
Ouest
(Régions : Bretagne et Pays-de-Loire) : Paul Molac[5], régionaliste breton, député du Morbihan.
Île-de-France
Est
(Régions : Grand Est et Bourgogne Franche-Comté) : Charles de Courson, député de la Marne. Bertrand Pancher, président d'Utiles, député de la Meuse.
Jocelyne Antoine, sénatrice, et Franck Menonville, sénateur, de la Meuse.
Sud-Ouest
(Régions : Nouvelle-Aquitaine et Occitanie) : Pierre Morel-À-L'Huissier, député de la Lozère.
Sud-Est
(Régions : Auvergne-Rhône-Alpes ; Provence-Alpes-Côte-d'Azur ; Corse) : Jean-Félix Acquaviva, Michel Castellani et Paul-André Colombani, députés de Corse.
Outre-mer
La mention "Ultra-marins" dans le nom (acronyme) du mouvement Utiles découle de sa forte présence outre-mer :
Olivier Serva, député de Guadeloupe ; Nathalie Bassire, députée de La Réunion ; Stéphane Lenormand, député de Saint-Pierre-et-Miquelon.
Élections européennes de 2024
En , des discussions ont lieu entre Utiles et la formation régionaliste Régions et peuples solidaires (RPS)[2]. Le même mois, Jean-Christophe Fromantin (Territoires en mouvement) (TEM) ont annoncé travailler à composer une liste, nommée « Notre Europe », « enracinée dans les territoires » et faisant largement appel aux élus locaux[6].
Fin , Bertrand Pancher, président de l'association politique Utiles, et Jean-Christophe Fromantin (Territoires en mouvement) (représentant Notre Europe) annoncent préparer une candidature commune[7] aux élections européennes de 2024 en France[Passage à actualiser].
Début , à l’initiative de Jean-Christophe Fromantin, un collectif d'élus (dont les membres d'Utiles) et d'experts des diverses régions françaises ont publié un appel, dans une tribune au journal Le Monde, « pour refonder la construction européenne en partant des territoires »[8]. Le principe de subsidiarité y est affirmé comme base de répartition des compétences, ou de partage de souveraineté, entre territoires locaux, échelon (niveau) national, et niveau européen[pertinence contestée].
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
- Groupe Libertés, indépendants, outre-mer et territoires
- Élections européennes de 2024 en France
- Élections européennes de 2024