Saint-Gratien (Val-d'Oise)

commune française du département du Val-d'Oise

Saint-Gratien (prononcé [sɛ̃ gʁa.ˈsjɛ̃]) est une commune française située dans le département du Val-d'Oise en région Île-de-France.

Saint-Gratien
Saint-Gratien (Val-d'Oise)
Vue générale de la ville depuis la colline d'Orgemont.
Blason de Saint-Gratien
Blason
Saint-Gratien (Val-d'Oise)
Administration
PaysDrapeau de la France France
RégionÎle-de-France
DépartementVal-d'Oise
ArrondissementSarcelles
IntercommunalitéCommunauté d'agglomération Plaine Vallée
Maire
Mandat
Julien Bachard
2020-2026
Code postal95210
Code commune95555
Démographie
GentiléGratiennois
Population
municipale
20 866 hab. (2021 en augmentation de 0,19 % par rapport à 2015)
Densité8 622 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 58′ 00″ nord, 2° 17′ 00″ est
Altitude55 m
Min. 39 m
Max. 59 m
Superficie2,42 km2
TypeCommune urbaine
Aire d'attractionParis
(commune du pôle principal)
Élections
DépartementalesCanton d'Argenteuil-1
Législatives6e circonscription du Val-d'Oise
Localisation
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Saint-Gratien
Liens
Site webhttp://www.ville-saintgratien.fr

Ses habitants sont appelés les Gratiennois.

Géographie

Localisation

Saint-Gratien est située aux portes de la vallée de Montmorency et à onze kilomètres au nord de Paris. Proche de secteurs à forte implantation d'activités économiques, elle reste une ville essentiellement résidentielle.

Communes limitrophes

Les communes limitrophes sont Argenteuil, Sannois, Eaubonne, Soisy-sous-Montmorency et Enghien-les-Bains dans le département du Val-d'Oise, et Épinay-sur-Seine dans le département voisin de la Seine-Saint-Denis.

Morphologie urbaine

Le centre de Saint-Gratien est constitué par un îlot très dense d'immeubles de grande hauteur datant des années 1970, entourant une place centrale nommée le « forum ». Celui-ci constitue un centre culturel et commercial, avec la présence de divers commerces ainsi, notamment, que du cinéma et de la médiathèque de la ville.

Le sud de la commune, au-delà des voies ferrées de la ligne La Plaine - Ermont-Eaubonne et en limite d'Argenteuil et d'Épinay-sur-Seine, est essentiellement constitué d'une importante cité HLM, les Raguenets, classée en zone urbaine sensible depuis 1996. En 2007, ce quartier regroupe 7 000 habitants, soit près du tiers de la population de la commune[2].

Au nord, l'environnement est nettement plus privilégié en limite d'Enghien-les-Bains, avec un quartier résidentiel aux alentours du lac de la princesse Mathilde, modeste extension du lac d'Enghien. Ce secteur est pour l'essentiel constitué de pavillons, avec la présence de petits collectifs, en particulier autour de l'avenue Mathilde, en limite de Soisy-sous-Montmorency.

Voies de communication et transports

L'autoroute A15 relie directement la commune à la Défense et au pôle d'activité de la ville nouvelle de Cergy-Pontoise, ainsi qu’à l'aéroport Roissy-Charles-de-Gaulle. La RD 14 rejoint rapidement la porte d'Asnières ou de Clichy.

Desservi par la ligne C du RER, la gare de Saint-Gratien se situe à vingt minutes de Paris Porte Maillot[réf. souhaitée].

Les principales lignes de bus sont :

Climat

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 648 mm, avec 10,5 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bonneuil-en-France à 11 km à vol d'oiseau[5], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 616,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

Typologie

Saint-Gratien est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune du pôle principal[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[12],[13].

Toponymie

Attestée sous les formes Sanctus Gratianus[14], Sanctus Gracianus en 1186[15].

Saint-Gratien doit son nom à un jeune berger martyrisé au ive siècle et canonisé sous le règne de Dagobert Ier en 628. Les moines de l'abbaye de Saint-Denis bâtirent un oratoire à sa mémoire. Une relique de saint Gratien est enterrée sous le maître-autel de l'église de la ville.

Histoire

En 1225, Guillaume de Cornillon possède la plus grande partie du territoire.

Au XVIIe siècle, le maréchal Nicolas de Catinat hérite de sa mère le territoire de Saint-Gratien. Disgracié en 1701 à la suite d’une conspiration, il se retire dans son château à Saint-Gratien, construit en 1610 par son grand-père. Il y reçoit Bossuet, Fénelon, Vauban, madame de Sévigné, madame de Coulanges, le duc de La Rochefoucauld, et partage son existence entre la culture des arbres fruitiers et la gestion de son domaine qui s’étend depuis Orgemont jusqu’aux rives du lac d’Enghien. Il meurt à Saint-Gratien le et est inhumé dans la chapelle du village. Pour rendre hommage à cet homme, la commune de Saint-Gratien a adopté les armoiries du maréchal de Catinat en juillet 1994.

Dès la fin du XVIIIe siècle, Saint-Gratien devient le site privilégié de villégiature des Parisiens qui y construisent des résidences secondaires dont certaines sont encore visibles.

En 1806, le comte de Luçay, Jean-Baptiste Legendre, préfet impérial, acquiert Saint-Gratien et y fait construire un château inauguré par Napoléon Ier.

En 1832, le marquis Astolphe de Custine, écrivain, voyageur et diplomate, fit également construire un château, qui fut rasé en 1860 par ses héritiers ; il y reçut de nombreux artistes : Balzac, Victor Hugo, Chopin, Delacroix, Chateaubriand qui fut intimement lié à sa mère pendant vingt ans, Alfred de Musset, Barbey d’Aurevilly, George Sand et Lamartine ; il en reste un bâtiment de dépendances, 67, rue Sœur-Angèle.

La princesse Mathilde Bonaparte, fille de Jérôme Bonaparte, passait ses étés tout d'abord au château Catinat en tant que locataire du marquis de Custine, puis acheta en 1853 le château construit par le comte de Luçay (aujourd'hui appelé « château de la Princesse Mathilde »).

Elle y reçut de nombreux écrivains et artistes du Second Empire : Prosper Mérimée, Théophile Gautier, Jules et Edmond de Goncourt, Gustave Flaubert, Alexandre Dumas.

Le tramway Enghien - Montmorency, vu ici devant la poste, a desservi la ville de 1901 ou 1902 à 1908.

Elle s’investit beaucoup dans la vie de Saint-Gratien et de ses habitants en participant financièrement à la construction de la première école (aujourd’hui disparue), à la création de postes d’infirmières, à l’installation de l’éclairage public et à l’édification de l’église actuelle (pour remplacer celle du xiiie siècle qui menaçait de s'écrouler).

Elle mourut à Paris le et est inhumée selon sa volonté dans l’église de Saint-Gratien.

En 1850, le territoire des communes de Saint-Gratien, Deuil-la-Barre et Épinay-sur-Seine est amputé afin de permettre la création des communes de Soisy-sous-Montmorency et d'Enghien-les-Bains[16].

Au XXe siècle, la commune a connu le développement des villes de banlieue parisienne avec un essor de sa population et la rénovation de son centre-ville, favorisé par la mise en service du tramway d'Enghien à Montmorency en 1901 ou 1902 et qui a desservi Saint-Gratien jusqu'en 1908, année où est créée la gare de Saint-Gratien. De 1910 à 1970, le nombre d’habitants est ainsi passé de 2 520 à 20 000.

Politique et administration

Rattachements administratifs et électoraux

Rattachements administratifs

Antérieurement à la loi du [17], la commune faisait partie du département de Seine-et-Oise. La réorganisation de la région parisienne en 1964 fit que la commune appartient désormais au département du Val-d'Oise, après un transfert administratif effectif au .

Rattachée à l'arrondissement d'Argenteuil lors de la mise en place du département, elle est transférée en 1985 à l'arrondissement de Montmorency, devenu arrondissement de Sarcelles en 2000[16].

Elle était rattachée de 1793 à 1964 au canton de Montmorency, année où elle est intégrée au canton d'Enghien-les-Bains avant de devenir, en 1985, le chef-lieu du canton de Saint-Gratien[16]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale

Saint-Gratien fait partie de la juridiction d’instance de Montmorency, et de grande instance ainsi que de commerce de Pontoise[18],[19].

Rattachements électoraux

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton d'Argenteuil-1

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1986 de la sixième circonscription du Val-d'Oise.

Intercommunalité

La commune était membre fondateur de la communauté d'agglomération de la vallée de Montmorency (CAVAM), un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé fin 2001.

Dans le cadre de la mise en œuvre de la loi MAPAM du , qui prévoit la généralisation de l'intercommunalité à l'ensemble des communes et la création d'intercommunalités de taille importante, la CAVAM fusionne le avec la communauté de communes de l'Ouest de la Plaine de France.

C'est ainsi qu'est créée la communauté d'agglomération Plaine Vallée, dont la commune est désormais membre.

Tendances politiques

Lors des élections municipales de 2020 dans le Val-d'Oise[20], la liste conduite par le maire sortant Julien Bachard (LR) — qui avait succédé à Jacqueline Eustache-Brinio en 2017 — remporte le scrutin dès le premier tour avec 2 729 voix, soit 59,4% des suffrages exprimés, devançant celles menées par[21] :
- Emmanuel Mikael (MoDem, 915 voix, soit 19,91%),
- Isabelle Volat (PCF : 539 voix, soit 11,73 %),
- Christine Valery (PS, 231 voix, soit 5,02 %),
- Abdallah Senbel (LREM, 180 voix, soit 3,91 %),
le scrutin étant marqué par une forte abstention de 64.87%.

Liste des maires

Liste des maires successifs[22],[23]
PériodeIdentitéÉtiquetteQualité
17901791Antoine Collas  
17921796Jean-Antoine Chevillard  
17961798Martin Donon  
17981799Louis-Mathieu Chevilliard Agent municipal
17991800Louis-François Ancelin Agent municipal
18001808Louis-François Ancelin  
18081815Jean Baptiste Charles Legendre[24] Préfet du Palais du Gouvernement, comte de Luçay
Conseiller général du Cher
18151821Jean Barthélémy Donon  
18211824Martin Donon  
18241832Pierre Chevillard  
18321837Jean-Baptiste Donon  
18371844Jean Chevilliard  
18441852Jean-Antoine Parein Cultivateur
Maire intérimaire en 1844
18521857Eugène Germain Léger  
18571871Laurent Hilaire Terré[25] (1796-1889) Avocat
18711878François Hippolyte Lemaitre  
18781884Simon Hayem[26] Manufacturier
mai 1884juin 1884François Hippolyte Lemaitre  
juin 1884août 1884Charles-Antoine Laurent Maire intérimaire
18841888François Hippolyte Lemaitre  
18881895Simon Hayem[26] Manufacturier
Décédé en fonction
avril 1895juin 1895Joseph Alexandre Fontaine Maire intérimaire
18951903Paul Léger  
19031904Louis Donon  
19041919Charles Grusse-Dagneaux  
19191935Louis Chevilliard  
19351944Charles ThononSFIOIngénieur Gaz de France
Député de Seine-et-Oise (1936 → 1940)
19441945André Sarrazin Architecte
Président du Comité local de Libération d'août à décembre 1944
19451947Isidore Gaidoz  
19471959Julien Morpe  
mars 1959mars 1977Léon HovnanianPRRRSMédecin
Député de Seine-et-Oise (1956 → 1958)
Conseiller général du Val-d'Oise (1967 → 1979)
mars 1977mars 1983Lucien CavelierPS 
mars 1983mars 2001François ScellierUDF-RADDéputé du Val-d'Oise (6e circ.) (2002 → )
Conseiller général de Saint-Gratien (1985 → 2015)
Président du conseil général (1997 → 2008)
mars 2001[27]octobre 2017[28]Jacqueline Eustache-Brinio[29]UMP[30]Enseignante dans un lycée professionnel
Sénatrice du Val-d'Oise (2017 → )
Conseillère régionale (2004 → 2017)
Vice-présidente déléguée de la CAVAM ( ? → 2015)
Vice-présidente de la CA Plaine Vallée (2016 → 2017)
Démissionnaire à la suite de son élection comme sénatrice
octobre 2017[31],[32]En cours
(au 27 juin 2021)
Julien BachardLRConseiller départemental d'Argenteuil-1 (2021 → )
Réélu pour le mandat 2020-2026[33]

Population et société

Démographie

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de plus de 10 000 habitants les recensements ont lieu chaque année à la suite d'une enquête par sondage auprès d'un échantillon d'adresses représentant 8 % de leurs logements, contrairement aux autres communes qui ont un recensement réel tous les cinq ans[34],[Note 3].

En 2021, la commune comptait 20 866 habitants[Note 4], en augmentation de 0,19 % par rapport à 2015 (Val-d'Oise : +3,39 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
179318001806182118311836184118461851
368424468380430487517568580
185618611866187218761881188618911896
7209161 0461 2021 2411 3271 6561 5471 632
190119061911192119261931193619461954
1 7742 0912 5393 3074 4855 7025 8476 1007 204
196219681975198219901999200620112016
9 24814 94720 33820 47019 33819 22621 43620 45320 824
2021--------
20 866--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Équipements culturels

  • Le centre culturel du Forum
  • Espace Jacques-Villeglé (lieu d'art contemporain)
  • Le théâtre Jean-Marais
  • Le centre culturel Camille-Claudel
  • Le centre du Parc
  • La salle Georges-Brassens
  • Le cinéma « Les Toiles »
  • La médiathèque Théodore-Monod
  • La bibliothèque Motordu

Culture locale et patrimoine

Lieux et monuments

Saint-Gratien ne compte qu'un seul monument historique sur son territoire, le château Catinat, avenue Gabriel-Péri[36])

Construit en 1610 par le grand-père de Nicolas de Catinat, il fut habité par le maréchal de 1637 à 1712, années durant lesquelles il y reçut de très nombreuses personnalités.
En 1857, le château fut racheté par la princesse Mathilde, qui en fit une maison d’amis.

Aujourd’hui, il accueille une partie des services sociaux de la mairie[37].

On peut également remarquer :

  • Église Saint-Gratien, place Charles-de-Gaulle : Bâtie de 1856 à 1859 sur les plans de Léon Ohnet, grâce aux subventions accordées par l’État et à la princesse Mathilde, pour remplacer l'église du XIIIe siècle qui menaçait de s'écrouler. Le maréchal Nicolas de Catinat (1637-1712) et la princesse (1820-1904) y sont enterrés.
  • Hôtel de ville, place Gambetta : Construit sur les plans de l'architecte Paul Nief, dans le style d'une maison bourgeoise, il fut inauguré le . Deux ailes basses ont été rajoutées en 1936.
La salle des Mariages, avec son décor néogothique, possède de nombreuses peintures illustrant l'histoire de Saint-Gratien[37].
  • Cèdre du Liban : Situé place Gambetta, la légende locale rapporte qu'il aurait été planté sur ordre de Louis XIV vers 1710, en reconnaissance à Nicolas de Catinat, seigneur de Saint-Gratien, maréchal de France[37].
  • Château de la princesse Mathilde : Il fut bâti en 1806 par Jean-Baptiste Legendre, comte de Luçay.
    La princesse Mathilde le racheta en 1853 et le fit rehausser d’un étage.
    L’immense parc du château fut amputé de son grand lac, cédé à la ville nouvelle d’Enghien-les-Bains.
Monsieur Terré, maire de Saint-Gratien, fit alors construire pour la princesse le bassin de l’Ouest en dédommagement de la perte du lac d'Enghien.
Après la mort de la princesse en 1904, le parc fut loti et devint le quartier résidentiel dénommé « le Parc ».
Mal conservé, le château était fortement délabré et fut déclaré insalubre en 1967. Il fut réhabilité par un particulier, en 1985, puis vendu en appartements[37].
  • Marché couvert et foyer municipal, place Roger-Salengro[37].
  • Bâtiment-voyageurs de la gare de Saint-Gratien : Son bâtiment-voyageurs de 1908 est un exemple particulièrement remarquable du style architectural propre à la banlieue parisienne entre la fin du XIXe siècle et les années 1930, avec large recours à la meulière et mélange de différents matériaux[37].

Personnalités liées à la commune

Notes et références

Notes

Références

Voir aussi

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Bibliographie

  • Association Saint-Gratien d'hier et d'aujourd'hui, Saint Gratien autrefois, Saint-Gratien, Centre culturel du Forum, , 191 p.

Articles connexes

Liens externes