Rue des Maronites
La rue des Maronites est une rue située dans le 20e arrondissement de Paris, en France.
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Situation | |||
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Arrondissement | 20e | ||
Quartier | Belleville | ||
Début | 20, boulevard de Belleville | ||
Fin | 17, rue Julien-Lacroix | ||
Morphologie | |||
Longueur | 266 m | ||
Largeur | 8 m | ||
Historique | |||
Création | 20 juillet 1836 | ||
Dénomination | 26 février 1867 | ||
Ancien nom | Rue de Constantine | ||
Géocodification | |||
Ville de Paris | 6033 | ||
DGI | 6116 | ||
Géolocalisation sur la carte : Paris Géolocalisation sur la carte : 20e arrondissement de Paris | |||
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Situation et accès
La rue des Maronites est desservie par la ligne 2 aux stations Couronnes et Ménilmontant.
- Voies rencontrées
Origine du nom
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/d/d6/Plaque_Rue_Maronites_-_Paris_XX_%28FR75%29_-_2021-06-10_-_1.jpg/220px-Plaque_Rue_Maronites_-_Paris_XX_%28FR75%29_-_2021-06-10_-_1.jpg)
Elle porte le nom des Maronites, une communauté catholique orientale du Liban, de rite syriaque antiochien, ayant pour fondateur saint Maron, vivant au IVe siècle. Le chef religieux des Maronites a le titre de patriarche d’Antioche et de tout l’Orient et réside à Bkerké au Liban.
Historique
Elle est ouverte en tant que rue sur l'ancienne commune de Belleville par une ordonnance du 20 juillet 1836, puis inaugurée sous le nom de « rue de Constantine » en mémoire de la prise de Constantine en 1837, sur l'emplacement d'un chemin figurant sur le plan de Roussel de 1730[1].
Classée dans la voirie parisienne en vertu d'un décret du , elle prend sa dénomination actuelle par un arrêté du , pour la différencier de la rue de Constantine qui était à Paris.
Bâtiments remarquables et lieux de mémoire
![](http://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/thumb/c/cb/Graffitis_rue_Maronites_2024.jpg/220px-Graffitis_rue_Maronites_2024.jpg)
- No 42 : la façade de l'ancienne école maternelle, désormais occupée par un service administratif de la Mairie de Paris[2]. Cette belle école en brique, typique des « écoles de Jules Ferry » formait un groupe scolaire avec l'école élémentaire Étienne-Dolet attenante qui, elle, accueille toujours des élèves.
- la résidence du Pressoir