Pierre Petroz
Pierre Petroz, né le à Paris où il est mort le , est un critique et historien de l’art français.
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Nom de naissance | Pierre-Jean-Baptiste Petroz |
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Biographie
Critique d’inspiration positiviste[1] et partisan déclaré d’un art social[2], Petroz a été critique d’art au Vote universel[3], à la Philosophie positive (d)[4] et au XIXe siècle[5].
Parmi les ouvrages intéressant les diverses manifestations de l’art en France depuis le début du XIXe siècle[6], il a publié l’Art et la Critique en France depuis 1822, une Esquisse d’un historique de la peinture au musée du Louvre[7], ainsi qu’un ouvrage sur son confrère W. Bürger[8]. Il a également traduit en français Histoire et critique de Thomas Babington Macaulay[9].
Mort en son hôtel du 16, rue de La Rochefoucauld, il a été, après des obsèques civiles, le lundi , inhumé au cimetière du Père-Lachaise (31e division)[10].
Théodore de Banville lui a dédié un poème des Stalactites[11].
Notes et références
Publications
Articles
- « Salon de 1868 », [S.l.n.d.] Revue moderne, t. 46.
- « L’exposition de 1876 », Paris, La philosophie positive, 2e série, t. 17, juil.-déc. 1876, p. 109-121, 1 vol. 25 cm.
- « L’Exposition de 1877 », Paris, La philosophie positive, 2e série, t. 9.
- « L’Exposition de 1880 », Paris, La philosophie positive, 2e série, t. 25.
- « L’Exposition de 1881 », Paris, La philosophie positive, 2e série, t. 27, juil.-déc. 1881.
Ouvrages
- L’Art et la Critique en France depuis 1822, Paris, Germer Baillière, , vi-339, 1 vol. in-18 (lire en ligne).
- Un critique d’art au XIXe siècle : Théophile Thoré-Burger, Paris, Félix Alcan, , 83 p., 1 vol. in-18 (lire en ligne).
- Esquisse d’une histoire de la peinture au musée du Louvre, Paris, Félix Alcan, , 290 p., 1 vol. in-8° (lire en ligne).
Liens externes
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