Michel Patrix

peintre français

Michel Patrix est un artiste peintre et graveur figuratif français né le à Cabourg (Calvados), appartenant à la seconde École de Paris, il vécut successivement au 7, rue Neuve-Popincourt dans le 11e arrondissement, au 63 bis, rue Dulong dans 17e arrondissement, à Reilly (Oise) et à Gonneville-sur-Scie (Seine-Maritime) où il est mort le .

Michel Patrix
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Naissance
Décès
Sépulture
Gonneville-sur-Scie
Nom de naissance
Michel Charles Georges Patrix
Nationalité
Française
Activité
Formation
Atelier André Lhote, Académie de la Grande Chaumière
Maître
Mouvement
Influencé par
Conjoint
Annie Aubrun-Patrix (pseudonyme d'écrivaine : Annie Guével)
Enfant
Blaise Patrix, Laurent Patrix, Édouard Patrix, Thomas Stern
Distinction
Prix de la Jeune Peinture, 1949

Biographie

Jeunesse

Collège des Doctrinaires, Brive-la-Gaillarde
Abbaye Saint-Pierre de Moissac

Michel Patrix, dont le père est ingénieur, inventeur et fabricant de machines-outils pour la menuiserie, évoquera des parents mélomanes, férus des choses de l'art « sauf en ce qui concernait ma carrière »[1]. Sa famille s'étant installée à Castelsarrazin, Michel effectue ses études secondaires au collège des Doctrinaires de Brive-la-Gaillarde, où il reçoit les encouragements de son professeur de dessin qui l'accompagne peindre des aquarelles sur le motif : « il n'oublie pas, confirme Serge Lucas, ce professeur de dessin qui, las de ses chants, en guise de punition, l'emmena un jeudi faire une aquarelle. Il avait treize ans, ce fut le coup de foudre »[2]. Simultanément, il aime les fréquentations de l'abbaye Saint-Pierre de Moissac, du musée Toulouse-Lautrec d'Albi, du Musée des Augustins de Toulouse, du Musée Ingres de Montauban où il copie les dessins de Jean Auguste Dominique Ingres[1].

Après l'obtention du baccalauréat de philosophie (branche qu'il aurait également aimé poursuivre), il affirme sa vocation d'artiste en rompant à cette fin avec ses parents, et, se fixant à Bordeaux[3], exerce successivement, jusqu'à sa mobilisation de février 1937 (Armée de l'air à La Réole) à juillet 1940, les métiers de docker, manœuvre en usine, représentant, chef de chantier d'abattage, « et même bureaucrate »[1].

Le Groupe de l'échelle

Paris, l'Académie de la Grande-Chaumière.

Il arrive à Paris en 1941 et fréquente l'atelier d'André Lhote, puis celui d'Othon Friesz lorsqu'il intègre le Groupe de l'échelle fondé en 1942, ainsi appelé pour l'habitude qu'ont ses membres de grimper sur une échelle pour observer les toits de Paris. Il regroupe avec lui, en un petit atelier mis à leur disposition au deuxième étage de l'Académie de la Grande-Chaumière, les peintres Geneviève Asse, Jacques Busse, Jean-Marie Calmettes, Ernest-René Collot, Jean Cortot, Daniel Dalmbert et Christiane Laran, ainsi que le sculpteur Jacques Dufresne[4]. Si l'on observe la présence des membres du groupe au Salon des moins de trente ans de novembre 1943 - Pierre du Colombier y remarque « Michel Patrix, fin coloriste qui ose s'attaquer à un sujet humain »[5] -, Éric Mercier ne manque pas de « souligner l'importance du Groupe de l'échelle entre 1945 et 1950 : il constitue alors l'un des rares et peut-être le seul groupe figuratif spontanément constitué en dehors de toute ingérence extérieure, comme celle de marchands ou de critiques. Il ébauche la première esthétique figurative issue à la fois des grands aînés du début du siècle et des années de guerre »[6].

Paris, rue Neuve-Popincourt côté no 7
Paris, brasserie La Coupole

Après avoir vécu au 59, avenue de Saxe, puis chez son ami Jean-Marie Calmettes au 18, boulevard Edgar-Quinet en 1943, au 7, rue du Pot-de-Fer en 1945, Michel Patrix s'installe au 7, rue Neuve-Popincourt en 1947. En 1951, chacun des artistes du Groupe de l'échelle reçoit la commande, dans le cadre de la célébration du bimillénaire de Paris, d'une grande composition destinée à décorer la frise intérieure de la brasserie La Coupole (les œuvres y demeureront en place jusqu'au milieu de la décennie 1960)[4]. Michel Patrix est sélectionné pour le Prix de la Critique en la même année 1951[7] puis, en 1952 (année où il épouse Annie Aubrun), le direction générale des Arts et des Lettres lui attribue une bourse de voyage pour un séjour à Ouessant. Sans que soient rompus les liens d'amitié, la dernière exposition du Groupe de l'échelle se tient au Havre en 1953 : « chacun suit alors son propre parcours et développe son style propre »[4], soit pour Michel Patrix « ce dessin robuste, aux couleurs disposées en plages savamment construites, illustrant son sens certain du monumental »[8].

La Jeune Peinture

C'est sous la présidence de Pierre Descargues, avec pour vice-présidents Paul Rebeyrolle et Gaëtan de Rosnay, qu'aux côtés de Paul Aïzpiri, Bernard Buffet, Paul Collomb, Simone Dat, Michel de Gallard, Pierre Garcia-Fons, Daniel du Janerand, Jean Jansem, Mireille Miailhe, Raoul Pradier et Michel Thompson, Michel Patrix est le membre du comité qui fonde l'Association dite de la Jeune Peinture[9]. Waldemar George observe alors que l'artiste « met à profit un certain nombre de conquêtes du cubisme : il brise les formes afin d'en mettre à jour le mécanisme secret. Sa graphie chromatique a la trame infiniment subtile mais précise d'une toile d'araignée »[10]. Pierre Imbourg, visitant le Salon des indépendants en avril 1953, voit pour sa part en l'accrochage de Michel Patrix « une orgie de couleurs disciplinée » et le range parmi les « chefs de file de l'école cubiste et néo-cubiste » aux côtés de Louis Marcoussis, François Desnoyer et Théo Kerg[11].

Cousins et artistes : Michel et Georges Patrix

Ce n'est qu'en 1949 que Michel Patrix rencontre son cousin, le comédien, peintre et designer Georges Patrix qui a fréquenté l'atelier d'Othon Friesz à la Grande Chaumière un an après lui, sans que l'homonymie ait jamais incité le maître à favoriser un rapprochement. Des quiproquos se sont alors produits tels que, dans la revue Arts, des tableaux de l'un commentés comme étant œuvres de l'autre, ou des inversions d'adresses par le secrétariat du Salon de mai qui les fit exposer côte à côte sous la même attribution, à partir de quoi ils ajouteront leurs prénoms à leurs signatures : de G. M. Patrix (Georges Michel), celle de l'un deviendra Michel Patrix, et de PATRIX, celle de l'autre deviendra Georges PATRIX. Le critique d'art Denys Chevalier les réunit alors à la rédaction de la revue Arts où ils illustrent un article qui leur est communément consacré de deux dessins, portraits de l'un exécutés par l'autre[12].

Île-de-Bréhat, Reilly, Gonneville-sur-Scie

Île-de-Bréhat

Michel Patrix s'éloigne une première fois de Paris pour vivre à l'Île-de-Bréhat d'août 1953 à juin 1954, y recevant des amis comme Jacques Baratier, Jacques Busse, Dany Lartigue ou le galeriste Jacques Massol, et laissant des souvenirs au peintre breton Guy Bigot : « c'était un très bon peintre, plein d'ardeur, drôle et curieusement triste. J'habitai la Bretagne et très souvent on se retrouvait à Quimperlé ou à Ouessant. Il travaillait aussi à Doëlan »[13].

Reilly

En 1958, l'artiste quitte à nouveau Paris, cette fois définitivement, pour s'installer avec sa famille successivement à Reilly (rue de la Fortelle) et à Gonneville-sur-Scie, marquant l'époque de ses paysages peints d'après nature, souvent à l'aquarelle : il plante alors son chevalet dans le Cotentin, en vallée de Seine, à Anneville-sur-Scie, à Duclair, à Yport, découvre la région de Dieppe et la baie de Somme, et Jean-Paul Crespelle, de sa visite du Salon de mai de 1961, retient ainsi « Patrix, dont les Falaises sont un des morceaux de bravoure de ce salon »[14]. De fait, « amoureux fou de la lumière, il aime lorsqu'elle joue avec l'eau et lui offre alors une transparence avec les bleus, les ocres, les verts »[2].

Michel Patrix meurt en et repose au cimetière de Gonneville-sur-Scie où sa sépulture est un ouvrage collectif autour d'une installation de son fils, le peintre Blaise Patrix et d'une œuvre du sculpteur et céramiste Gil Browaëys.

L'expert reconnu par sa famille est Patrick Reynolds[15].

Contributions bibliophiliques

  • Jean Cortot (textes) et Michel Patrix (gravures), Poésies incomplètes, vingt eaux-fortes originales, trente exemplaires numérotés, Éditions du Mouflon, Paris, 1947.

Expositions

Expositions personnelles

  • Galerie Visconti, Paris, 1945, 1953, mai-juin 1958[16].
  • Galerie Roux-Hentschel, Paris, 1945.
  • Galerie Paul Rosenberg, New York, 1948, 1949[7].
  • Galerie Drouant-David, Paris, 1949, 1953, janvier 1955[7],[17].
  • Galerie Galanis-Hentschel, Paris, 1950.
  • Michel Patrix et Robert Wogensky, Galerie moderne, New York, janvier 1953 (catalogue préfacé par Waldemar George).
  • Galerie Jacques Hamon, Le Havre, mars-avril 1953, mars 1962[18],[19].
  • Galerie d'aujourd'hui, Mulhouse, 1956.
  • Galerie Paul Raffray, Paris, 1959, 1961, mars 1962[18].
  • Bayer Gallery, New York, avril-mai 1959[20].
  • Michel Patrix - Aquarelles, Galerie Marignan, Paris, mars 1962[18], 1963[20].
  • Galerie Menuisement, Rouen, 1962[20].
  • Galerie France Bertin, Paris, 1964[20].
  • Centre culturel de Trie-Château, 1967.
  • Claude Robert, commissaire priseur, Vente de l'atelier Michel Patrix, Hôtel Drouot, 1971[2],[21].
  • Galerie Kiras, Paris, novembre 1990, 1993.
  • Michel Patrix, une joyeuse liberté de peindre - Rétrospective 1941-1973, espace Jacques-Prévert, Mers-les-Bains, mai-juin 2021[22],[23].

Expositions collectives

Citations

Dits de Michel Patrix

  • « Je crois qu'il faut laisser à la musique le domaine du non-figuratif sous peine de tomber dans un symbolisme un peu désuet. »[1]
  • « La personnalité d'un créateur plastique, ce sont ses maladresses. Comme disait Georges Braque, "quand je peins, j'ai toujours deux idées, l'une pour détruire l'autre". »[2]

Réception critique et témoignages

  • « Patrix, tout lui est bon pour se livrer, de long en large de la toile et de haut en bas, à des réjouissances picturales tout ensemble sensuelles et résolument cartésiennes : un vrai de Normandie, patrie, chacun le sait, de Théodore Géricault et de Nicolas Poussin. Un impétueux amour de la couleur pour la couleur et de la matière pour la matière l'anime. Il sait qu'un tableau n'est pas un kaléidoscope, mais il a compris que les formes et les rouges, les volumes et les bleus, les objets et les verts composent un tout indissoluble de réactions mutuelles, de compénétrations, d'oppositions, d'alliances. Et c'est ainsi que d'une bouteille, d'un moulin à café, d'une tasse, il fait quelque chose qui ne rappelle en rien une plate nature morte mais qu'il convient de considérer plutôt comme un ballet de somptuosités intenses. » - Maximilien Gauthier[28]
  • « Le parti-pris de rigidité et de verticalité de la composition se retrouve dans la signature aux lettres très droites, très étroites et hautes qui se détachent en rouge sur le fond vert. Le vert est la couleur dominante de cette nature morte ; mais plutôt qu'un fond vert, c'est une manière d'enveloppe verte, vitrifiée et transparente, interrompue en un seul endroit par la tenture d'un bleu violacé et recouvrant d'une pellicule lumineuse le marron de la table et les blancs miroitants des cristaux. Les couleurs sont un peu celles du néo-cubisme, mais la monumentalité, quoiqu'allégée, d'une composition que l'on pourrait qualifier de gothique, s'allie au souci de la vérité optique des choses. » - Madeleine Vincent, docteur de l'Université de Lyon, à propos de la toile La table ronde[46]
  • « Pour des artistes tels que Michel Patrix, l'art est une aventure. C'est aussi une expérience vivante. Son activité est désintéressée. Elle se situe sciemment en marge des postulats de l'École de Paris. Elle traduit une volonté de choix qui s'écarte de la norme et une vocation qui échappe totalement à l'emprise de la mode. C'est une activité personnelle et individuelle qui côtoie l'anarchie. Elle n'est concevable que dans un pays libre qui se targue d'ignorer les contraintes esthétiques. Comme la plupart des peintres de sa génération, Michel Patrix subit (ou a subi) la puissante attraction du cubisme, mais il a adopté devant les découvertes de ses prédécesseurs une attitude nouvelle et indisciplinée. Son écriture est bardée de points. Sa ligne frémit et vibre ; elle est composée d'une multitude de traits. Une flamme intérieure mine sa forme et en fait éclater les cloisons : natures mortes et figures témoignent de ce conflit. » - Waldemar George[47]
  • « Je considère toujours Michel Patrix comme l'un des peintres les plus doués de sa génération. » - Emmanuel David[48]
  • « Michel Patrix avait la nature la plus noble et généreuse que je connaisse, et comme peintre il était le plus honnête. » - Charles G. K. Warner, Lincoln (Massachusetts)[49]
Robert Wogensky
  • « J'admirais le talent de Michel Patrix, et nous étions nombreux à penser qu'il était le plus doué de nous tous… Il m'épatait beaucoup par sa verve, son éclat, et c'est vrai qu'il était habité par la peinture. » - Robert Wogensky[50]
  • « Ami d'Othon Friesz que je visitais assez souvent dans son atelier, j'avais été tenu au courant, avant même sa constitution officielle, de la formation du Groupe de l'échelle. À cette époque si noire, cette tentative d'affirmation de la part des plus récentes générations apportait un regain d'espoir. C'est pourquoi je la soutenais aussitôt et me liai d'une fidèle amitié avec la plupart des participants. Dès la naissance du Salon de mai en 1945 tous furent invités et ne cessèrent durant des années d'y être présents. J'ai toujours eu une particulière estime pour Patrix, plein d'entrain, volubile et faisant montre avec brio d'une écriture picturale jaillissante, audacieuse, aux savantes harmonies. » - Gaston Diehl[51]
  • « Celui qui vécut la peinture comme une aventure compta parmi les jeunes espoirs de l'École de Paris figurative, tout en gardant une totale liberté ancrée dans une vocation qui échappe à l'emprise de toute mode. » - Lydia Harambourg[52]
Jacques Busse
  • « ...Peintre aux dons multiples qui avait le sens du monumental. Il figurait, au lendemain de la dernière guerre, parmi les représentants les plus originaux du Groupe de l'échelle. Un art solidement construit, un dessin robuste, une connaissance très sûre des valeurs. » - Gérald Schurr[53]
  • « Profitant des conquêtes plastiques des grands aînés, Michel Patrix tendait à les synthétiser dans une nouvelle tradition, peut-être dans l'optique même des peintres de la génération intermédiaire des Bazaine, Manessier, Pignon et autres tentant la synthèse de Picasso et Henri Matisse, n'excluant ni les ressources d'une composition monumentale ambitieuse, ni l'assurance de pérennité d'un "beau métier". » - Jacques Busse[3]

Prix et distinctions

« À la Mère Catherine », Paris

Collections publiques

Brésil

France

Musée des Beaux-Arts Pouchkine, Moscou

Russie

Venezuela

Fresques murales

Collections privées

Notes et références

Annexes

Bibliographie

  • Maximilien Gauthier (préface) et Jacques Busse (biographies des artistes), Cortot, Calmettes, Patrix, Éditions de la galerie Galanis-Hentschel, Paris, 1951.
  • André Salmon, Le Groupe de l'échelle, éditions de la Galerie Jacques Hamon, Le Havre, 1953.
  • Maximilien Gauthier, « Michel Patrix », Connaissance des arts, 15 février 1954.
  • Waldemar George, De Ingres à nos jours - Corps et visages féminins, Éditions Art et Industrie, 1955.
  • Madeleine Vincent, La peinture des XIXe et XXe siècles, vol.VII du Catalogue du musée de Lyon publié sous la direction de René Jullian, IAC - Les Éditions de Lyon avec le concours du C.N.R.S., 1956.
  • Franz Hofmann, La civilisation française, Hirschgraben-Verlag, 1956.
  • Bernard Dorival, Les peintres du vingtième siècle du cubisme à l'abstraction, 1914-1957, Éditions Pierre Tisné, 1957.
  • Waldemar George, Michel Patrix, Éditions de la Galerie Paul Raffray, Paris, 1959.
  • Raymond Nacenta, The School of Paris - Tha painters and the artistic climate of Paris since 1910, Oldbourne Press, Londres, 1960.
  • Gaston Diehl, La peinture moderne dans le monde, Flammarion, 1961.
  • Bernard Dorival, Peintres contemporains, Mazenod, Paris, 1964.
  • Claude Robert, commissaire-priseur (extraits de textes de Roger Vrinat, Waldemar George, Le Figaro et Connaissance des arts), Catalogue de la vente de l'atelier Michel Patrix, Hôtel Drouot, Paris, 8 novembre 1971.
  • Francis Parent et Raymond Perrot, Le salon de la Jeune Peinture - Une histoire, 1950-1983, Éditions Jeune Peinture, 1983.
  • Annie Guével (autoportrait de Michel Patrix en couverture, portrait de Michel Patrix par Blaise Patrix, p. 86), Il n'y a de jugement que dernier - Le quotidien d'une femme de peintre, Éditions Hubert Julia, Rouen, 1985.
  • Waldemar George (préface), Michel Patrix, éditions de la Galerie Kiras, Paris, 1990.
  • Patrick-F. Barrer, L'histoire du Salon d'automne de 1903 à nos jours, Éditions Arts et Images du Monde, 1992.
  • Lydia Harambourg, L'École de Paris, 1945-1965 - Dictionnaire des peintres, Éditions Ides et calendes, 1993.
  • Gérald Schurr, Le Guidargus de la peinture, Les Éditions de l'Amateur, 1996.
  • Emmanuel Bénézit, Dictionnaire des peintres, sculpteurs, dessinateurs et graveurs, Gründ, 1999 (article de Jacques Busse).
  • Jean-Pierre Delarge, Dictionnaire des arts plastiques modernes et contemporains, Gründ, 2001.
  • Éric Mercier, « Les années 50 », La Gazette de l'Hôtel Drouot, n°2, 13 janvier 2006.
  • Pierre Basset, Les insoumis de l'art moderne - La Jeune peinture, Paris, 1948-1958, Éditions Un certain regard, 2009.
  • Éric Mercier, Années 50 - La Jeune Peinture, tome I : L'alternance figurative ; tome II : Panorama de la Jeune Peinture, ArtAcatos, 2010.
  • Patrick Reynolds, « Michel Patrix », Restauração de parte da coleção Museu de arte moderna do Rio de Janeiro anterior a 1978, Éditions du Musée d'art moderne de Rio de Janeiro, 2012.
  • Sarah Wilson, Pierre Basset, Julien Roumette et Florence Condamine, Les insoumis de l'art moderne - Paris, les années 50, éditions Musée Mendjisky - Écoles de Paris, 2016 'consulter en ligne).

Filmographie

Liens externes

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