Il est l'élève d'Anne-Louis Girodet dès l'âge de 17 ans, puis devient le maître de Pierre-Jules Jollivet. Il obtient le 2eprix de Rome en 1808, sur le sujet Erasistrate découvre la cause de la maladie d’Antiochus.
Magny-les-Hameaux, musée national de Port-Royal, Erasistrate découvrant la cause de la maladie d'Antiochus, huile sur toile 113 par 145 cm.
Montargis, musée Girodet, Portrait de Girodet peignant “Pygmalion et Galatée”, huile sur toile, 0,650 par 0,545, signé et daté de 1821, acquis en 2006[1].
Orléans, musée des Beaux-Arts, Saint-AIgnan, évêque d'Orléans, invoque le ciel pour le salut de la ville assiégée par les barbares, Salon de 1833, huile sur toile, 329 x 260 cm[2] .
Paris, musée du Louvre, département des arts graphiques, Étude pour Girodet peignant “Pygmalion et Galatée”, dessin à la pierre noire, donné par Jacques-Édouard Gatteaux en 1873, [2]
Versailles, musée du château de Versailles et de Trianon, 6 tableaux à sujets historiques et quatre autres illustrant les quatre saisons, commandés par Louis XVIII en 1819.
Catalogue de l'exposition, Girodet sous le regard de Dejuinne, Montargis, musée Girodet, 2006, notices de Richard Dagorne et Sidonie Lemeux-Fraitot.
Émile Bellier de La Chavignerie, Dictionnaire général des artistes de l'École française depuis l'origine des arts du dessin jusqu'à nos jours : architectes, peintres, sculpteurs, graveurs et lithographes, tome 1, p. 378, Librairie Renouard, Paris, 1881 (lire en ligne)