Anne-Laure Blin

Elle est déléguée nationale de l'UNI pendant ses études^[1] et selon LCP « va devant les tribunaux pour demander l'évacuation d'étudiants bloqueurs à l'université de Nancy »^[2].

Elle devient ensuite assistante de Jean-Charles Taugourdeau (UMP puis LR), député de Maine-et-Loire.

À l’issue d’une élection législative partielle de la troisième circonscription de Maine-et-Loire le 27 septembre 2020, elle lui succède comme députée^[3]. Elle rejoint le groupe Les Républicains^[4]. Elle est coprésidente du comité de soutien à Valérie Pécresse en Maine-et-Loire pour l'élection présidentielle de 2022^[5].

Elle est investie par Les Républicains pour les élections législatives de 2022^[6]. Arrivée en tête au premier tour, Anne-Laure Blin est élue députée le 19 juin 2022.

À la suite de la dissolution de l'Assemblée nationale le 9 juin 2024, elle est de nouveau candidate aux législatives.

En 2021, elle fait partie des parlementaires ayant déposé une proposition de loi^[7] à l'Assemblée nationale pour créer un « ticket restaurant étudiant » en réponse aux difficultés financières et sociales rencontrées par les étudiants, aggravées par la crise sanitaire. Cette proposition de loi est adoptée au Sénat^[8] avant d'être rejetée par la majorité LREM à l'Assemblée nationale^[9],[10].

En mars 2021, sur la chaîne LCP, elle dénonce « la doxa populaire qui dit qu'il faut acter le réchauffement climatique » et demande des éléments « qui prouvent cette question du réchauffement climatique »^[11],[12]. Repris sur Twitter en janvier 2022, ces propos suscitent des réactions des personnalités écologistes Yannick Jadot et Matthieu Orphelin, ainsi que de la climatologue Valérie Masson-Delmotte, qui les qualifient de climatosceptiques^[13],[14].